La cote 400 / Sophie Divry

couverture du livre

 
Le monologue névrotique d’une bibliothécaire invisible…

« Vous n’y avez jamais pensé : que peut produire littérairement une société où il n’y a plus ni guerres, ni épidémies, ni révolutions ? Je vais vous le dire, moi : des fictions ineptes sur de gentilles filles et de braves garçons amoureux qui se font souffrir sans le vouloir et passent leur temps à s’excuser en pleurant. Ridicule. Il ne faut jamais s’excuser. » (p.54-55)

S. P.